Toi, Moi et le reste du Monde ...

dimanche 8 novembre 2020

Un nouveau sentiment d'incertitude.

Voilà, ça fait un peu plus de 9 ans déjà que j'avais écrit un billet sur mon blog. Cela faisait longtemps que ce pur sentiment n'était pas remonté à la surface. J'ai eu une nouvelle vie. Une nouvelle femme.de nouveaux enfants. Un nouveau job et les responsabilités que cela implique. Mais tout ça provoque un jour un cycle perpétuel que l'on ne s'attend pas à voir ressurgir à la surface. En tout cas, pas de si tôt. Je découvre les bas du mariage, de la routine, de la frustration et de l'excellence de prendre le manque de libido de ma belle et tendre femme, comme une passe temporaire qui commence à perdurer. Je sais vous allez sans doute vous dire que comme dans beaucoup de couple, le piment doit être cultivé et consommé avec modération. Hors il n'y a plus de piment. Plus de consommation, plus de désir. Je donnerai cher pour pouvoir retrouver nos folles périodes de préliminaires, de découvertes, de nouveaux plaisirs, de nouveaux jouets. J'ai fini aujourd'hui par mettre mon égo de côté, mon désir brûlant, ma libido dévorante dans une boîte et j'ai fermé à double tour. Apres avoir bataillé en vain ces dernières années, je renonce. J'ai eu beau faire des efforts et me l'a garder sous le coude , rien n'y a fait : notre sexualité est morte. Les enfants, la vie, le poids, le dégoût de son corps, les opérations et surtout sa perte de sensations à fini de nous achever. Je l'aime et ça ne changera pas comme toutes ces années que je viens de passer à ces côtés. Je l'aime comme un fou. Je la désire tout autant. Mais je n'arrive plus à rien avec elle quand il s'agit de câlin, de désir, de partage, et de sexe.
J'alimente mon esprit avec des lectures diverses dont celles de revebebe. Pour les non initiés, il s'agit d'un site qui publie depuis des années des récits érotiques, de quiconque ayant envie de raconter ces désirs ou mieux ces expériences. Peut-être un jour, je me lancerai dans un récit moi aussi. Quoiqu'il en soit, seul mon esprit et ma main apaisent cette tension qui grandit sans cesse.
Comme je le disais plutôt, j'aime profondément ma moitié. Elle m'a offert une vie de famille et une stabilité sans faille. J'ai de la chance.
Quel avenir m'attend, ou dirais-je plutôt nous attend... Je n'ai de cesse d'admirer ces formes et de vouloir les déguster centimètres par centimètres jusqu'à plus soif. Le désir d'un homme est-il si différent de celui des femmes !? Quoiqu'il en soit, je n'en reste pas moins convaincu par l'attirance que nous avons l'un envers l'autre. Il faut juste que je trouve l'interrupteur qui déclenche à nouveau son brasier ardent tel qu'il était à nos débuts.

dimanche 29 août 2010

Existe-t'il une "normalité" en matière de sexualité ?

Où se situe la frontière entre la normalité et l’anormalité? Cela ressemblerait presque à une réflexion philosophique. Je pense que la frontière est extrêmement mince et fragile entre les deux. Si toutefois on met en évidence l’anormalité sexuelle.
Mais si je considère la définition usuelle de la norme, la normalité: conforme à la règle, à l’ordre, alors cela voudrait-il dire qu'il y a des règles et des normes qui s’apposent à la sexualité ? Mais en termes de sexe en dehors de toutes déviances qui tyrannisent ou qui soumettent en heurtant l’être dans son humanité. La normalité est certainement celle que l’on s’impose.
La question reste encore totalement ouverte...
J’avoue ne faire parler que mes yeux, car si mes mains s'y mettent, il y aurait bien des choses à dire !
C'est tout comme la fameuse distinction virtuel/réel. Ça veut dire quoi en fait ?
On se trompe tous ! il n'y a pas de distinction. Le virtuel n'est pas du tout l'opposé du réel. Le virtuel est parfois une simulation interactive de la réalité ! On s'immerge virtuellement pour créer quelque chose de réel. C’est une passerelle.